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Catégorie : ADERA

9ème édition du Bordeaux PharmacoEpi Festival

Du 25 mai au 1er juin 2021, participez à la 9ème édition du Bordeaux PharmacoEpi Festival dédié à la pharmaco-épidémiologie.

Des experts de renommée mondiale animeront ce festival, avec cette année des sujets forts de l’actualité notamment la Covid-19, les Big Data dont le Health Data Hub et les études sur multi-bases de données. Chaque expert expose le sujet de son choix lors d’une session de 2h : master-class en anglais, avec des participants attendus d’horizons scientifiques divers (scientifiques académiques, étudiants, industriels…).

La pharmaco-épidémiologie est une science en évolution rapide. De nouvelles méthodes émergent régulièrement et celles existantes connaissent une amélioration continue notamment à l’ère de la Covid-19, des « Big Data » et de la « Data Science ». 

Le Bordeaux PharmacoEpi Festival est une initiative de la Plateforme Bordeaux PharmacoEpi (BPE), plateforme de recherche de l’Université de Bordeaux et labellisée INSERM CIC1401. L’idée : lancer un nouveau format d’information complémentaire aux réunions de l’ISPE (International Society for PharmacoEpidemiology), en permettant aux meilleurs experts internationaux d’évoquer les dernières avancées en pharmaco-épidémiologie de manière plus approfondie. Cette année, chaque orateur exposera le sujet de son choix lors d’une session de 2h, un temps nécessaire pour approfondir la thématique abordée et favoriser des interactions de qualité avec le public.

La 9ème édition du Bordeaux PharmacoEpi Festival aura lieu du 25 mai au 1er juin 2021 sous un format hybride sur 6 jours de 16h à 18h, avec des conférences en ligne diffusées en direct, ou en présentiel à l’Université de Bordeaux sur le site Carreire, Amphi Broca (sous réserve de l’évolution des restrictions sanitaires).

Pour vous inscrire, complétez et retournez le formulaire d’inscription avant le 30 avril 2021 à : bpe-festival@u-bordeaux.fr

Pour consulter le programme

Pour télécharger le formulaire d’inscription 

Voeux 2021 !

Toute l’équipe de l’Adera vous souhaite ses meilleurs voeux pour 2021.

Quels ingrédients pour bien vieillir en 2020 ?

NutriBrain et le laboratoire NutriNeuro viennent de publier les premiers résultats obtenus dans le contexte du projet Brain Booster, FUI regroupant plusieurs laboratoires et industriels dont l’objectif est de montrer l’impact de la supplémentation en co-produits marins sur le déclin cognitif lié à l’âge. 

En juillet dernier, nous vous parlions du programme de recherche Silver Brain Food, visant à développer des solutions, pour accompagner les séniors dans la prévention du déclin cognitif via une alimentation riche en nutriments essentiels à la santé cérébrale. La Cellule Nutribrain étant partie prenant du projet. Dans la même perspective, NutriBrain vient de publier les premiers résultats obtenus dans le contexte du projet Brain Booster

Le vieillissement cérébral se caractérise par un déclin des fonctions cognitives, qui peut entraîner développement de pathologies neurodégénératives. Les déficits de mémoire liés à l’âge sont associés à une inflammation chronique de bas grade. Les troubles tels que l’anxiété et les altérations de la réponse au stress, survenant chez une partie des personnes âgées, ont également été liés à une neuro-inflammation accrue impliquant une accélération du déclin cognitif. On sait aujourd’hui que la nutrition est une stratégie innovante pour prévenir les troubles cognitifs liés aux déficiences de l’âge.

Parmi les nutriments identifiés, les acides gras polyinsaturés n-3 à longue chaîne et des peptides de bas poids moléculaire provenant de protéines, en particulier celles d’origine marine, sont de bons candidats pour leurs immunomodulateur et leurs propriétés neuroprotectrices. Le but de l’étude menée par NutriBrain est de déterminer l’effet combiné des n-3 LC-PUFA et des peptides de bas poids moléculaire sur les fonctions cognitives, ainsi que leur mécanisme d’action. L’équipe de NutriBrain est la première a montrer qu’une complémentation alimentaire avec un hydrolysat de poisson contenant des n-3 LC-PUFA et des peptides de bas poids moléculaire peut empêcher les déficits de mémoire spatiale à court terme liés à l’âge.

L’hydrolysat de poisson a montré des activités anxiolytiques avec la réduction des comportements anxieux chez des souris âgées, a permis de rétablir

les taux plasmatiques de corticostérone similaires à ceux des animaux adultes après un stress et de moduler la réponse au stress.

Téléchargez la publication complète en anglais 

La pollution sonore en milieu marin intégrée dans les études d’impact environnemental.

Cohabys signe la publication d’un guide co-réalisé pour le Ministère de l’écologie. L’introduction d’énergie sonore dans le milieu marin et son impact sur la faune marine sont aujourd’hui considérés comme une problématique importante. Ainsi, la pollution sonore est désormais intégrée dans les études d’impact environnemental au même titre que la pollution chimique.

Le guide co-réalisé par la cellule Cohabys se veut être un outil permettant de faciliter la compréhension et la prise en charge de la problématique du bruit sous-marin. Sa réalisation fait partie des mesures prises dans le cadre de la DCSMM au titre des Documents stratégiques de façade (DSF). Il s’inscrit dans la mesure M021-NAT2 des plans d’action pour le milieu marin de juin 2016. Le guide intitulé “Guide de préconisations pour limiter l’impact des bruits marins sur la faune marine” se focalise sur les émissions acoustiques d’origine anthropique en milieu marin, leurs impacts sur la faune marine et les méthodes ou techniques disponibles pour limiter ces impacts. Il inclut des éléments théoriques sur l’acoustique en général et les particularités liées à l’acoustique sous-marine. 

On y trouve également des informations permettant de comprendre les impacts potentiels de ces activités sur la faune marine ainsi qu’une série de préconisations visant à mieux évaluer et maîtriser ces impacts, en présentant les moyens disponibles pour éviter, réduire, voire compenser, les impacts de chaque activité. Il est à noter que ce guide s’adresse principalement aux services centraux et déconcentrés de l’État.

La sauge à la rescousse de notre mémoire. Une étude sur l’impact de la supplémentation en Salvia officinales et Salvia Lavandulaefolia.

Nutribrain a publié un papier dans Nutrient suite à une étude sollicitée par le partenaire industriel Nexira, mettant en valeur l’activité de la sauge dans l’amélioration de la mémoire.

Nutribrain a publié un papier dans Nutrient suite à une étude sollicitée par le partenaire industriel Nexira, mettant en valeur l’activité de la sauge dans l’amélioration de la mémoire. L’étude faite sur des souris saines a permis de démontrer qu’une combinaison de différents types de sauge peut présenter des effets synergiques en plus de l’amélioration de la mémoire après une administration chronique.

La sauge est une plante aromatique de la famille des Lamiacées que l’on retrouve dans le monde entier.  Elle est l’une des plantes médicinales les plus populaires dans les médecines traditionnelles. Les espèces de “Salvia” ont été utilisées pour le traitement de troubles digestifs et de la circulation, de la bronchites, de la toux, de l’asthme, de la dépression ou encore de la transpiration excessive. Les espèces Officinalis et Lavandulaefolia ont également déjà été proposées pour améliorer la cognition normale ou se protéger contre le déclin cognitif lié au vieillissement. La prévention de l’altération cognitive, apparaît comme un problème de santé publique majeur. Le contexte de vie moderne avec les nombreuses sources électroniques de données sollicite en excès l’attention et la mémoire, dont le maintien des pleines capacités devient un défi même pour les personnes actives et en bonne santé.  Les propriété nootropiques de deux espèces de sauge ont commencé à être décrites avec des preuves précliniques et cliniques.

Lire l’étude complète

 

La cellule Nutribrain impliquée dans un programme de recherche unique au monde au service des seniors.

Silver Brain Food est un programme de recherche unique au monde visant à développer des solutions, des produits et des services personnalisés pour accompagner les seniors dans la prévention du déclin cognitif via une alimentation riche en nutriments essentiels à la santé cérébrale.

Ce programme est une initiative de la PME Activ’Inside, spécialisée dans le développement et la production d’actifs végétaux  (issus du raisin et du safran), destinés aux industries de la Nutrition Santé, en particulier dans le domaine de la neuro nutrition.  Silver Brain Food est financé par le Programme d’investissements d’avenir (PIA) piloté par le Secrétariat général pour l’investissement et opéré par Bpifrance. Mené en collaboration avec les laboratoires universitaires NutriNeuro et Bordeaux Population Health, ainsi qu’un consortium d’industriels, Silver Brain Food vise à développer des solutions, des produits et des services de proximité et personnalisés, pour accompagner les seniors dans la prévention du déclin cognitif.

La cellule de transfert de technologie Nutribrain, spécialisée dans le domaine de la  Nutrition et des Neurosciences, sera partie prenante du projet en étant adossée au laboratoire NutriNeuro. La mission de Nutribrain est la mise en évidence de l’impact de la nutrition sur le « bien-être cérébral » en proposant aux industriels des outils pour étudier les effets fonctionnels des aliments et des nutriments. Le laboratoire NutriNeuro est une unité mixte de recherche (UMR 1286) sous co-tutelle de l’INRA, Bordeaux INP et de l’université de Bordeaux. 

Les partenaires industriels du projet : Activ’Inside, porteur du projet; EC6, expert en restauration et nutrition hospitalière et gériatrique; GoodMix, expert en solutions digitales de coaching nutritionnels. A ces partenaires s’ajoute un comité d’utilisateurs qui réunira des entreprises susceptibles de tester les solutions développées en cours de projet.

Découvrez Nutribrain

 

Les offres d’emploi du mois de juillet 2020 en Nouvelle-Aquitaine !

Changement de statut pour l’ADERA : Un actionnariat avec les établissements supérieurs de la recherche donne naissance à la filiale ADERA (SAS)

  • En conformité avec les exigences réglementaires, ADERA Association devient ADERA (SAS)
  • Les établissements UB, Bx INP, UPPA et LRU se partagent l’actionnariat
  • Un chantier de trois ans avec le ministère et les établissements a préparé la transition
  • La continuité de l’ensemble des actions de l’ADERA est garantie

Pessac le 1er juillet 2020 – Depuis 53 ans, l’ADERA agit au service de l’écosystème de la recherche, de l’innovation et du transfert technologique aux côtés des Universités et des industriels. En 2015, suite à une première évolution des textes de 2007, une directive ministérielle précise les conditions régissant les « Relations en matière d’activités de valorisation et de transfert entre les établissements d’enseignement supérieur de recherche et les structures privées ». Dans cette impulsion et sous la présidence de Gérard Frut, un chantier de trois années de préparation a été mené, visant la continuité des missions de l’ADERA, tout en assurant aux Etablissements une conformité aux exigences réglementaires.

Filialisation de l’ADERA

A l’automne 2017, les Etablissements optent pour une filialisation de l’ADERA avec pour actionnaires UB, Bx INP, UPPA et LRU. Des avenants aux conventions existantes ont été dès lors signés et prolongés début 2019 avec l’accord du MESRI en s’appuyant sur un plan de travail détaillé devant conduire à la filialisation d’ADERA Association en juin 2020. L’agrément de l’ADERA pour le doublement du CIR a également été renouvelé jusqu’en 2020 permettant une transition en douceur pour le passage d’ADERA l’Association à ADERA (SAS).

Actionnariat et équipe

Sur la base des activités générées par l’ADERA, la répartition du capital de l’actionnariat conduit à une répartition à 60% des parts pour l’Université de Bordeaux, 25% pour l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, 10% pour Bordeaux INP et 5% pour La Rochelle Université. Le nouveau Conseil d’administration composé de sept membres issus des établissements universitaires actionnaires s’est réuni le 30 juin en assemblée générale entérinant le vote du changement de statut de ADERA service en ADERA (SAS). L’Université de Bordeaux, représentée par son Président Monsieur Manuel Tunon de Lara, assure la présidence de la filiale, en succession à Gérard Frut, Président de l’association depuis juillet 2017. Jean Rivenc, Directeur, est reconduit dans ses fonctions. Les missions des 250 salariés de l’ADERA sont inchangées.

Un socle économique solide

Le modèle économique de l’Association permet un début d’activité serein de la filiale dans la continuité des actions menées jusqu’alors. Comme l’indiquent les bilans économiques de 2017, 2018 et 2019 la gestion saine des fonds et le contrôle rigoureux des dépenses de l’ADERA (avec un taux de gestion minimal par comparaison aux autres filiales françaises), a démontré sa robustesse à un niveau d’activités jamais atteint avec le renforcement de ses fonds propres.

2020 une année charnière

L’ADERA a su faire face aux nombreuses transitions en ce début d’année 2020 dans le contexte très particulier de la pandémie et de préparation à la filialisation. On pense à la séparation des activités des plateformes Pyla et Canoë non apportées à la SAS (suite à la décision des comités de pilotage) et à l’arrêt de certaines activités avec la fermeture de l’accès aux laboratoires pour les chercheurs, l’annulation de tous les colloques prévus en 2020 ou la suppression de nombreuses formations. L’été 2020 ouvre un nouveau chapitre de l’existence de la structure. Toute l’équipe de Condorcet est mobilisée pour une reprise progressive, mais certaine, de sa mission de service et de ses activités de conseil, d’accompagnement, d’organisation d’événement, de formation et de gestion auprès des chercheurs et des industriels innovants de la Nouvelle-Aquitaine.

Membres du Conseil d’administration :

Université de Bordeaux

  • Manuel Tunon de Lara, Président
  • Eric Papon, Professeur Vice-Président Innovation & Relations avec les Entreprises
  • Olivier Pujolar, Vice-président en charge des partenariats et des territoires

Université de Pau et des Pays de l’Adour

  • Mohamed Amara, Président
  • Christophe Derail
    Vice-Président délégué à la recherche partenariale et au transfert, UPPA
    Président référent du comité Labcom, ANR
    Directeur du LabCom LERAM, URGO et UPPA

Bordeaux INP

  • Marc Phalippou, Directeur général Bordeaux INP

La Rochelle Université

  • Jean Marc Ogier, Professeur Président

 

Lancement du fonds d’investissement Pertinence Invest 2

Ce fonds d’amorçage inédit rassemble 11 partenaires industriels, 19 Universités et Grandes Écoles d’Ingénieurs et un Organisme public de recherche répartis sur l’ensemble du territoire. Pertinence Invest 2 vise une taille finale de 70 millions d’euros.

Créé en partenariat avec 19 des plus grandes Écoles d’Ingénieurs et Universités de France et leurs filiales de valorisation ce fonds sera dédié au financement de l’innovation technologique dans les Sciences de l’Ingénieur (Usine 4.0, Numérique, Gestion des ressources et de l’énergie, Chimie et matériaux) ainsi qu’au secteur de la Santé et de la Nutrition. 

Pertinence Invest 2 c’est d’abord une communauté de 17.000 chercheurs issus de Groupe INSA, Grenoble INP, L’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers, Ecole Centrale (Lyon, Marseille et Nantes), Aix-Marseille Université, Université de Bordeaux, Bordeaux INP, Université de Pau et des Pays de l’Adour, Université de Limoges, La Rochelle Université, Université de Nantes ainsi que de l’IFP Energies Nouvelles. Outre ses partenaires académiques, Pertinence Invest 2 bénéficie également d’un réseau exceptionnel d’investisseurs industriels.

Ce fonds unique par l’ampleur du sourcing des projets, est porté par Sofimac Innovation, société de gestion indépendante dédiée à l’investissement technologique et innovant.

“En 2012, l’Adera fondait PERTINENCE INVEST 1 avec 7 autres filiales de valorisation membres de la Commission Filiale du réseau Curie et avec le soutien de ses partenaires de l’enseignement supérieur (UB/UPPA/BDX.INP/LRU). En 2020, la création de PERTINENCE INVEST 2 s’inscrit en continuité de l’aventure, et dans un renforcement notable de notre mission d’appui aux start-up technologiques issues des laboratoires de Recherche régionaux.” Jean Rivenc, Directeur de l’Adera.

Télécharger le dossier de presse de Sofimac