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Catégorie : Cellules & Plateformes

La cellule Nutribrain impliquée dans un programme de recherche unique au monde au service des seniors.

Silver Brain Food est un programme de recherche unique au monde visant à développer des solutions, des produits et des services personnalisés pour accompagner les seniors dans la prévention du déclin cognitif via une alimentation riche en nutriments essentiels à la santé cérébrale.

Ce programme est une initiative de la PME Activ’Inside, spécialisée dans le développement et la production d’actifs végétaux  (issus du raisin et du safran), destinés aux industries de la Nutrition Santé, en particulier dans le domaine de la neuro nutrition.  Silver Brain Food est financé par le Programme d’investissements d’avenir (PIA) piloté par le Secrétariat général pour l’investissement et opéré par Bpifrance. Mené en collaboration avec les laboratoires universitaires NutriNeuro et Bordeaux Population Health, ainsi qu’un consortium d’industriels, Silver Brain Food vise à développer des solutions, des produits et des services de proximité et personnalisés, pour accompagner les seniors dans la prévention du déclin cognitif.

La cellule de transfert de technologie Nutribrain, spécialisée dans le domaine de la  Nutrition et des Neurosciences, sera partie prenante du projet en étant adossée au laboratoire NutriNeuro. La mission de Nutribrain est la mise en évidence de l’impact de la nutrition sur le « bien-être cérébral » en proposant aux industriels des outils pour étudier les effets fonctionnels des aliments et des nutriments. Le laboratoire NutriNeuro est une unité mixte de recherche (UMR 1286) sous co-tutelle de l’INRA, Bordeaux INP et de l’université de Bordeaux. 

Les partenaires industriels du projet : Activ’Inside, porteur du projet; EC6, expert en restauration et nutrition hospitalière et gériatrique; GoodMix, expert en solutions digitales de coaching nutritionnels. A ces partenaires s’ajoute un comité d’utilisateurs qui réunira des entreprises susceptibles de tester les solutions développées en cours de projet.

Découvrez Nutribrain

 

Changement de statut pour l’ADERA : Un actionnariat avec les établissements supérieurs de la recherche donne naissance à la filiale ADERA (SAS)

  • En conformité avec les exigences réglementaires, ADERA Association devient ADERA (SAS)
  • Les établissements UB, Bx INP, UPPA et LRU se partagent l’actionnariat
  • Un chantier de trois ans avec le ministère et les établissements a préparé la transition
  • La continuité de l’ensemble des actions de l’ADERA est garantie

Pessac le 1er juillet 2020 – Depuis 53 ans, l’ADERA agit au service de l’écosystème de la recherche, de l’innovation et du transfert technologique aux côtés des Universités et des industriels. En 2015, suite à une première évolution des textes de 2007, une directive ministérielle précise les conditions régissant les « Relations en matière d’activités de valorisation et de transfert entre les établissements d’enseignement supérieur de recherche et les structures privées ». Dans cette impulsion et sous la présidence de Gérard Frut, un chantier de trois années de préparation a été mené, visant la continuité des missions de l’ADERA, tout en assurant aux Etablissements une conformité aux exigences réglementaires.

Filialisation de l’ADERA

A l’automne 2017, les Etablissements optent pour une filialisation de l’ADERA avec pour actionnaires UB, Bx INP, UPPA et LRU. Des avenants aux conventions existantes ont été dès lors signés et prolongés début 2019 avec l’accord du MESRI en s’appuyant sur un plan de travail détaillé devant conduire à la filialisation d’ADERA Association en juin 2020. L’agrément de l’ADERA pour le doublement du CIR a également été renouvelé jusqu’en 2020 permettant une transition en douceur pour le passage d’ADERA l’Association à ADERA (SAS).

Actionnariat et équipe

Sur la base des activités générées par l’ADERA, la répartition du capital de l’actionnariat conduit à une répartition à 60% des parts pour l’Université de Bordeaux, 25% pour l’Université de Pau et des Pays de l’Adour, 10% pour Bordeaux INP et 5% pour La Rochelle Université. Le nouveau Conseil d’administration composé de sept membres issus des établissements universitaires actionnaires s’est réuni le 30 juin en assemblée générale entérinant le vote du changement de statut de ADERA service en ADERA (SAS). L’Université de Bordeaux, représentée par son Président Monsieur Manuel Tunon de Lara, assure la présidence de la filiale, en succession à Gérard Frut, Président de l’association depuis juillet 2017. Jean Rivenc, Directeur, est reconduit dans ses fonctions. Les missions des 250 salariés de l’ADERA sont inchangées.

Un socle économique solide

Le modèle économique de l’Association permet un début d’activité serein de la filiale dans la continuité des actions menées jusqu’alors. Comme l’indiquent les bilans économiques de 2017, 2018 et 2019 la gestion saine des fonds et le contrôle rigoureux des dépenses de l’ADERA (avec un taux de gestion minimal par comparaison aux autres filiales françaises), a démontré sa robustesse à un niveau d’activités jamais atteint avec le renforcement de ses fonds propres.

2020 une année charnière

L’ADERA a su faire face aux nombreuses transitions en ce début d’année 2020 dans le contexte très particulier de la pandémie et de préparation à la filialisation. On pense à la séparation des activités des plateformes Pyla et Canoë non apportées à la SAS (suite à la décision des comités de pilotage) et à l’arrêt de certaines activités avec la fermeture de l’accès aux laboratoires pour les chercheurs, l’annulation de tous les colloques prévus en 2020 ou la suppression de nombreuses formations. L’été 2020 ouvre un nouveau chapitre de l’existence de la structure. Toute l’équipe de Condorcet est mobilisée pour une reprise progressive, mais certaine, de sa mission de service et de ses activités de conseil, d’accompagnement, d’organisation d’événement, de formation et de gestion auprès des chercheurs et des industriels innovants de la Nouvelle-Aquitaine.

Membres du Conseil d’administration :

Université de Bordeaux

  • Manuel Tunon de Lara, Président
  • Eric Papon, Professeur Vice-Président Innovation & Relations avec les Entreprises
  • Olivier Pujolar, Vice-président en charge des partenariats et des territoires

Université de Pau et des Pays de l’Adour

  • Mohamed Amara, Président
  • Christophe Derail
    Vice-Président délégué à la recherche partenariale et au transfert, UPPA
    Président référent du comité Labcom, ANR
    Directeur du LabCom LERAM, URGO et UPPA

Bordeaux INP

  • Marc Phalippou, Directeur général Bordeaux INP

La Rochelle Université

  • Jean Marc Ogier, Professeur Président

 

A2M sollicitée pour le Projet D-Mask !

Le Projet D-Mask consiste au développement d’un protocole simple et universel de désinfection domestique des masques grand-public, suffisamment robuste pour être mis en œuvre par la population.

La cellule de transfert A2M du laboratoire IMS, intervient en recherche, développement et conseil dans le domaine des applications ou des interactions électromagnétiques sur la matière inerte ou vivante. A2M a récemment été sollicitée par Monsieur Simon Hemour chercheur au laboratoire IMS et Mme Andréola de Bdx2 pour un projet de protocole de désinfection.

La grave crise sanitaire liée au Covid19 a mis la Nation en tension dans un jeu d’équilibre entre catastrophe économique et sanitaire. En parallèle du déconfinement progressif, l’Académie de médecine préconise le port de masques dits “grand public”. Toutefois, le problème d’approvisionnement, de lourdeur du lavage domestique et de l’impact écologique du milliard de masques jetables appellent à une alternative innovante. C’est dans ce contexte d’urgence qu’est né le projet D-Mask. L’objectif du projet est la réutilisation des masques « barrière » (type chirurgical et en tissu), grâce à une méthode de décontamination simple et rapide. Le protocole garantit des conditions minimums de temps/hygrométrie/température permettant l’inactivation virale, pour venir étendre la durée de vie des masques en complément au lavage à 60°C.

Le but de cette étude est de développer et de démontrer une technique simple de désinfection de masque de protection à l’aide de matériaux hygroscopiques préalablement chauffés au four micro-onde classique.

A ce jour, A2M a exploré une voie simple (utilisation d’un four domestique), qui semble donner de bons résultats d’élévation de température et de condition d’humidité d’un masque (non infecté). La charge virale doit être maintenue au-delà de 70°C pendant 5 minutes, ce que rend possible l’atmosphère de vapeur dégagée par les matériaux hygroscopiques. Des tests avec virus à Bdx2 sont en cours.

Ce projet monté dans un contexte d’urgence en réponse aux actualités n’est pas encore financé. Une demande d’aide est en cours auprès de l’Université, de même qu’une réponse à Manifestation d’intérêt (AMI) a été déposée à la Région.

Et pour contribuer aux connaissances : d-mask.org

Project D-Mask A2M
Extrait des tests du projet de recherche D-Mask.

Archéovision dans l’équipe du chantier de restauration de Notre Dame

Un documentaire de CNRS Images explique la course contre la montre pour créer une sauvegarde numérique des indices laissés par l’incendie d’avril 2019. L’équipe d’Archéovision participe par ses relevés à la création d’un outil de travail compilant l’ensemble des données numériques utiles aux chercheurs et au projet de restauration.

Un documentaire de CNRS Images explique comment l’équipe « données numériques » créé pour le chantier Notre Dame et dans lequel Archéovision est impliquée, donne naissance à un fascinant double numérique de l’édifice.

Les volumes sont numérisés au millimètre près, l’état de la voûte enregistré, des modèles en 3D des décombres créés … Toutes les données produites sont compilées pour retracer les différentes étapes de la vie du monument. Grâce aux scans et aux  reconstitutions 3D d’Archéovision, se sont des milliers d’informations liées au bois de charpente, à la structure générale voire même à l’acoustique du site qui sont réunies, constituant un véritable outil de travail destiné aux équipes en charge de la restauration.

Pour une captivante immersion dans le projet

Des analyses de plus en plus pointues pour UT2A

Dosage des teneurs totales de métaux ou de leurs formes chimiques (analyse de spéciation), caractérisation de nanoparticules et nanomatériaux, analyse de COV, participation à des projets de recherche collaboratifs. UT2A intervient sur des projets complexes et dans des délais ultra courts.

Dans son numéro du mois d’avril (numéro 263, page 17), la Gazette du laboratoire a consacré une page complète à UT2A, centre de transfert technologique situé à Pau.

L’article souligne les analyses de plus en plus pointues d’« Ultra Traces Analyses Aquitaine » (UT2A), spécialisé dans le domaine de l’analyse des éléments trace et ultra-trace (métaux et métalloïdes) depuis 20 ans. En effet, la Gazette revient sur les plus de 6 500 échantillons analysés chaque année sous forme de prestations, dont 5 % à l’international, et ce dans différents secteurs tels que pharmaceutique, cosmétique, agroalimentaire, environnement, qualité de l’air, chimie des procédés, matériaux industriels (aéronautique) ou encore celui des suppléments alimentaires pour animaux.

On rappelle les prestations d’analyse des COV, celles sur la traçabilité alimentaire ainsi que l’implication de la cellule dans différents projets d’envergure, tel que celui en collaboration avec l’ANR  et porté par le BRGM sur le traitement des algues sargasses aux Antilles.

Dans les dernières actualités d’UT2A, on rappelle sa participation dans le comité d’organisation de SPECTR’ATOM qui se tiendra du 8 au 11 septembre 2020 au Palais Beaumont de Pau.

Article de la Gazette du laboratoire – Avril 2020

Présentation d’Archéovision

Des techniques innovantes au service des sites archéologiques et historiques.

Archeovision intervient partout dans le monde, sur une période allant de la préhistoire à l’archéologie industrielle en proposant des solutions d’imagerie en 3 Dimensions pour la valorisation, la préservation ou encore la recherche en bâtiment patrimonial.

Archéovision se présente dans un article du magazine spécialisé de la 3D 3DVF.com

La double structuration d’Archéovision, à la fois laboratoire sous tutelle du CNRS de l’université de Bordeaux Montaigne et de l’Universités de Bordeaux (statut public) et Archéovision Production, structure de transfert technologique (privé), suscite la curiosité dans le milieu. Une différenciation qui fait mouche quand on est au service de la communauté des scientifiques et des experts du patrimoine. Archéovision s’organise autour de trois gros pôles d’activités : recherche, valorisation et préservation du patrimoine, avec des projets implantés dans le monde entier.

Emeline Pettex de retour de la plus grande expédition de femmes scientifiques en Antarctique

Une expérience unique en son genre !

En février dernier, l’Adera vous informait de la sélection de la chercheuse en écologie marine au sein de la cellule Cohabys, pour la 4e cohorte du programme international Homeward Bound. Suite à la confirmation de sa participation et après onze mois de préparation et de formation à distance, elle a rejoint à Ushuaia les 98 autres participantes de 33 nationalités différentes, pour une immersion grandeur nature de trois semaines. Après une traversée du passage de Drake de deux jours, l’équipée a longé la péninsule antarctique en alternant visites à terre (13 au total dont 2 visites de bases scientifiques) et sessions de formation active autour de la stratégie,  de la visibilité et du leadership. Ces trois thèmes de qualités individuelles et collectives ont été creusés en perspective d’engagements d’actions pour la planète. De retour fin décembre, Emeline Pettex a partagé cette expérience humaine unique et extrêmement enrichissante par son impact sur le développement personnel et sur l’émulation à la co-construction ou à l’appui aux projets du réseau. Une expérience d’autant plus marquante que, malgré la beauté des paysages et une faune préservée en apparence, les conséquences des activités humaines se mesurent même en Antarctique : réchauffement climatique responsable de la modification de la distribution des espèces de manchots, diminution du krill liée à la surpêche, et présence notable de microplastique.

Cette expédition composée de 121 femmes avec l’équipage, porteuse d’ambition et de changement, aura souligné le 200e anniversaire de la présence humaine en Antarctique. Rappelons que ce programme visant à développer le leadership des femmes en science est né d’un constat simple : les profils et les valeurs de nos leaders ne sont parfois pas adaptés pour répondre correctement aux enjeux planétaires et sociétaux actuels.

Découvrez la description du voyage d’Emeline Pettex sur Facebook @Science4Planet et sur Twitter @EmelinePettex

Intégrer la 6e cohorte

En savoir plus sur Cohabys

Précédente actualité relative au programme

AQUIDERM : Les résultats de l’étude sur le magnétisme interpellent

Après M6 et le reportage de l’émission 66 minutes, ce sera bientôt TF1 qui relaiera les premiers résultats d’une étude peu commune menée par Aquiderm. Expérience inédite, un magnétiseur à l’origine de la demande d’étude est venu au sein du laboratoire pendant cinq jours afin d’apposer ses mains sur des explants de peaux cicatricielles (incisées volontairement pour simuler une blessure). A l’issu de ces cinq jours, les sous-nageants ont été prélevés et congelés afin de doser dans un second temps des médiateurs de l’inflammation. Sur les échantillons de peau magnétisée, les marqueurs d’inflammation et donc de cicatrisation étaient visibles en plus grand nombre que sur les échantillons non magnétisés. Des résultats positifs puisque l’objectif de l’étude visait à caractériser le potentiel de l’électromagnétisme à induire une cicatrisation sur des explants de peaux humaines cicatricielles. 

L’Emission 66 minutes

Reportage de l’émission de M6 sur les magnétiseurs à partir de 44.07 minutes
Extrait sur l’étude avec Aquiderm à 54.46 minutes du reportage

Interview de Jerôme Rambert, Responsable de la cellule de transfert

Vidéo : Amarante Process, la cellule experte en génie des procédés au service de la filière viti-vinicole

La cellule de transfert Amarante Process accompagne les industriels en leur proposant des démarches de développement et en mettant à leur disposition des moyens techniques de R&D innovants dans le domaine du Génie des Procédés. A l’interface entre les acteurs de la filière viti-vinicole et les chercheurs spécialisés en génie des procédés de l’Institut des Sciences de la Vigne et du Vin Bordeaux Aquitaine, Amarante Process rend ainsi accessible aux entreprises des innovations technologiques et scientifiques issues de son laboratoire d’adossement. Fabrice Meunier, Responsable technique, dresse en moins de 2 minutes le portrait de la cellule.

En savoir plus sur Amarante Process

ENSTBB : Nouvelles formations 2020 sur les thérapies innovantes et la bioproduction

Côté bioproduction, la formation que vous attendiez en analytique est enfin au programme 2020 afin de dessiner les tendances à venir face aux problèmes d’agrégation ou de glycosylation. Côté thérapie innovante, ne manquez pas CAR-T Cells le 2 avril 2020 en inter-entreprise.

Thérapies innovantes :

  • La formation CAR-T Cells sera incontournable pour comprendre les principes et enjeux de ces nouveaux biomédicaments.
  • Au programme également cette année, une formation de découverte, ouverte à un public non initié aux biotechnologies, souhaitant découvrir les spécificités de structure et de production des thérapies innovantes.
  • Autre formation : la bioproduction des vecteurs viraux, aujourd’hui au cœur des nouvelles biothérapies.

Bioproduction : 

 Les formations en biotechnologies de l’ENSTBB sont disponibles en inter et intra-entreprise.

Découvrez les dates et le programme des formations 2020 inter-entreprises

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